Ouvrages

                   Couverture ouvrage Mansart       

                                                             

Les Mansart. Trois générations de génies de l'architecture, éditions Lelivredart, Paris (à paraître).

Fruit de 30 ans de recherche et de réflexion, voici le panorama complet de la célèbre dynastie d'architectes Mansart qui met fin à  deux siècles de tradition historiographique en histoire de l'art.

Loin de s'arrêter à François Mansart (1598-1666) et à Jules Hardouin-Mansart (1646-1708), la dynastie comprend trois autres membres moins connus mais non des moindres : Pierre Delisle-Mansart (1641-1710), Jean Mansart de Jouy (1703-1783) et Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne (1711-1778), dit "le dernier des Mansart", troisième grand de la famille.

On trouvera là : l'intégralité de l'œuvre de chacun à ce jour, une analyse croisée, une fortune critique depuis les origines, une importante iconographie (1087 illustrations dont 695 couleurs et 392 noir et blanc) et une bibliographie complète (1250 références).

Cet ouvrage est rédigé par Philippe Cachau, chercheur associé au Centre François-Georges Pariset de l'Université Bordeaux-Montaigne, l'un des principaux spécialistes du sujet Mansart, auteur de toutes ses recherches depuis en 1988 et non en collectif.

Parce qu'on ne peut appréhender valablement les Mansart qu'en les considérant tous ensemble ...

Format : 24 x 30 cm

464 pages

Couverture reliée sous jaquette

Prix public : 69 €   (58 € en souscription. Tarif préférentiel en cas de préachat en nombre)

Parution : fin 2020

Editions LeLivred'art, catalogue : https://www.lelivredart.com/nos-livres-d-art-et-catalogues-d-exposition/

Souscription en ligne : https://www.lelivredart.com/project/les-mansart

 

 

 

                    Biarritz sous le Second Empire édition

 

Biarritz sous le Second Empire. 1854-1870, "hors-série Napoléon III - Revue du Souvenir napoléonien", juin 2020, Sotéca, diffusion Belin, 80 pages, 14,90 €.

La formidable destinée d'un petit port du Pays basque devenu, par la perspicacité d'une impératrice et la volonté farouche d'un empereur, tel Louis XIV à Versailles, une cité de renommée internationale.

Une histoire revue et corrigée à la lumière des Archives  Nationales conservées à Paris, divisée en trois parties : la vraie histoire de la Villa Eugénie, le projet impérial (domaine, plage, cité) ; les séjours et fêtes.

Une publication passionnante pour mieux apprécier Biarritz.

 

 

                                  Ouvrage Beaumont-la-Ronce 2019

 

Beaumont-la-Ronce. Un château en Touraine. Histoire  Architecture  Environnement en collaboration avec le marquis Pierre de Beaumont, Tours, éd. La Simarre, 2019, 12 €. Parution : décembre 2019.

Place forte de la Touraine depuis le XIIe siècle, située à vingt-deux kilomètres au nord de Tours, dans la Gâtine tourangelle, le château de Beaumont-la-Ronce a contribué aux riches heures de la région. Il est depuis trois siècles la propriété de la famille Bonnin de La Bonninière de Beaumont, l'une des plus importantes familles nobles de France dont l'ancienneté est attestée depuis le Moyen Âge.

Alliée aux plus hautes familles de France (Broglie, Miromesnil, Gallet de Mondragon, Orillard de Villemeanzy ...), elle a donné des généraux, des préfets, des conseillers généraux, des gens d'Eglise, des mécènes, des artistes, des sportifs ... L'ouvrage, le premier sur le château et la famille, livre un panorama de l'histoire de l'architecture et de l'environnement de Beaumont-la-Ronce, tant naturel (agriculture, massif forestier) que culturel (chasse, musique).

À une époque qui perd peu à peu ses racines terriennes et ses traditions, on se plongera volontiers dans ce qui fait la Touraine authentique. De l'art de vivre en Val-de-Loire en quelque sorte ...

Format : 17 x 23, 108 pages couleurs

Disponible ici.            

 

                                    Mémoire dominicaine 2015

 

Les bâtiments du monastère de Prouilhe, Mémoire Dominicaine, n° 32, ouvrage collectif sous la direction des Frères Paul-Bernard Hodel – Augustin Laffay et de la Sœur Agnès Barrier, Fribourg (Suisse), 2015, 402 p., 30 €. Parution juillet 2015.

Le monastère royal Notre-Dame de Prouille (ou Prouilhe)(Aude) est le premier grand monastère dominicain de France au Moyen Age. Fondé au début du XIIIe siècle et longtemps réputé première fondation de saint Dominique, ce monastère n'en demeure pas moins l'un des piliers théologiques de l'ordre des Frères Prêcheurs, notamment par son rôle joué dans le combat contre les Cathares.

Comme Fontevraud notamment, ce monastère présentait la particularité d'être un couvent double, composé de moines et de moniales, dirigé par un prieur et une prieure. Les femmes y demeuraient toutefois majoritaires. Le bâtiment gothique disparut en grande partie lors de l'incendie de 1715. Il fallut attendre 1746 pour voir enfin aboutir le projet de reconstruction conçu par l'architecte du roi, Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne et qui ne sera achevé qu'en 1787.

Le projet de Mansart de Sagonne (1711-1778), conduit par lui jusqu'en 1753, sera mené à son terme, de 1757 à 1787, par le Frère Raymond Vergès. En 1785-1787, l'architecte du roi et de la province de Languedoc, Jean-Arnaud Raymond (1739-1811) procéda aux remaniements de l'église Notre-Dame du monastère sur la base du projet établi par Mansart de Sagonne. Ce magnifique édifice ne demeura, hélas, pas longtemps en place puisque, bien sécularisé sous la Révolution, il fut revendu au marchand et maire de Fanjeaux, Hugues Destrem (1754-1804), qui le démantèla pierre par pierre. Des vestiges se retrouvent ainsi dans les diverses maisons et fermes alentours.

Prouille devait renaître de ses cendres au milieu du XIXe siècle sous l'égide du fameux R.P. Henri Lacordaire (1802-1861), décédé non loin de là, à Sorèze.

Découvrez enfin dans ce volume de Mémoire Dominicaine, l'histoire vraie et passionante de ce haut lieu de la spiritualité des Frères Prêcheurs. L'ouvrage met en effet un terme aux nombreuses légendes qui coururent à son propos.

Retrouvez également l'état exact du monastère au XVIIIe siècle, ainsi qu'une foule de documents inédits dont certains issus des archives de l'ordre à Rome.

L'ouvrage s'achève par la publication de la belle correspondance entre le Dominicain, Ernest-Bernard Allo (1873-1945), et l'abbé Charles Journet (1891-1975) durant vingt ans à compter de 1918.

 

 

           Couverture annales 2013                                                

 

Annales de la journée d'histoire 2013, château des Ormes (Vienne)*, Le marquis de Voyer (1722-1782) : l'homme, le parent, l'ami, le politique et le mécène, Philippe Cachau (dir.), éditions Narratif, Châtellerault, 2014, 160 p., cahiers d'illustrations, 12 €. Parution avril 2014.

Fils du fameux ministre de la Guerre de Louis XV, le comte Marc-Pierre de Voyer d'Argenson (1696-1764), Marc-René, marquis de Voyer (1722-1782), fut l'une des personnalités marquantes de la cour de Versailles dans les années 1740-1760, ainsi que, et surtout, des arts au milieu du siècle des Lumières : il est l'auteur des prestigieux chantiers de l'hôtel d'Argenson à Paris, dit aussi "Chancellerie d'Orléans", des châteaux et haras d'Asnières-sur-Seine et de ceux des Ormes, leur seigneurie entre Touraine et Poitou.

Longtemps négligé des historiens au profit de son illustre père, le marquis de Voyer est un personnage fascinant. Tour à tour militaire, homme de cour, gouverneur et bailli de plusieurs villes ou provinces du centre et de l'ouest de la France (Touraine, Aunis, Saintonge, Charentes), il est aujourd'hui reconnu comme l'un des plus grands mécènes de son temps et l'un des plus brillants éleveurs de chevaux au XVIIIe siècle, fort de ses fonctions de directeur des haras du roi (1752-1764) et des méthodes anglaises qu'il avait importées en France.

Réputé en effet pour ses liens étroits avec l'Angleterre (Walpole, Burlington, Chambers, Shelburne ...), ainsi que pour ses échanges philosophiques avec les grands esprits du temps dont Voltaire, ami de son père, le Président Hénault, Marmontel et le fameux moine bénédictin, Dom Léger-Marie Deschamps, précurseur de Hégel, le marquis de Voyer est à redecouvrir dans ces annales, premier opus à lui étre totalement consacré.

D'autres articles suivront à l'avenir (cf. Articles).

Découvrez en attendant le contenu et les belles signatures de ces annales ...

 

Sommaire :

Le marquis Marc-René de Voyer d'Argenson (1722-1782) par Jean-Denis de Voyer d'Argenson, Agrégé de l'Université, ancien élève de l'ENA.

La collection de peinture du marquis de Voyer par Anne Leclair, Historienne de l'art.

Le "goût de la bâtisse" du marquis de Voyer par Philippe Cachau, Docteur en histoire de l'art.

Antoine-Martin Pussort et Henri Pussort, oncles de Colbert et ancêtres de la marquise de Voyer par Bertrand de Sainte-Marie, Conservateur du Patrimoine, musée et domaine départemental de Sceaux.

Le marquis de Pérusse des Cars, seigneur en Poitou au siècle des Lumières par Jacqueline Gagnaire et claudine Pauly, Chercheurs au Centre châtellerauldais d'Histoire et d'Archives.

D'épée, de robe, de plume, de cravache : la saga des Voyer d'Argenson par Michel Rapoport, Professeur honoraire d'histoire contemporaine, université Paris-Est-Créteil, ancien chargé de conférence à l'EPHE (Sorbonne).

La navigation sur la Vienne aux XVIIIe et XIXe siècles par Geneviève Cerisier-Millet, Chercheur au Centre châtellerauldais d'Histoire et d'Archives.

Disponible à la librairie du château des Ormes et sur demande sur le site du château : http://www.chateaudesormes.fr 

* Annales initiées par Philippe Cachau

 

 

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Le château des Ormes, collection "Parcours du Patrimoine", préface par Ségolène Royal, présidente de la Région Poitou-Charentes, Service de l'Inventaire, 80 pages illustrées, Geste éditions, 8 euros. Parution mai 2013.

Par l'ampleur de ses bâtiments et l'importance de ses occupants (familles Pussort et D'Argenson), le château des Ormes constitue l'un des monuments majeurs de la Vienne et de la région Poitou-Charentes. Quoique composé de bâtiments d'époques diverses (XVIIIe, XIXe et XXe siècles), il forme un ensemble d'une remarquable unité architecturale. Les plus grands architectes des XVIIIe et début du XXe siècles (Pierre Meusnier, Charles De Wailly et Alfred Coulomb) œuvrèrent à sa réalisation.

Propriété pendant plus de deux siècles (1729-1978) des Voyer d'Argenson, illustre famille d'Ancien Régime, le château connut son heure de gloire au XVIIIe siècle : philosophes, auteurs, artistes et membres éminents de la Cour de Versailles en firent un des hauts lieux du siècle des Lumières.

Il fut également un site majeur du cheval en France à cette époque, dont témoignent encore la splendide grange-écurie et le haras-relais de poste situés à proximité, sur l'ancienne route royale qui menait vers Bordeaux et l'Espagne depuis Paris (RD 918).

Le château est entouré d'un vaste et beau parc, d'un jardin avec terrasse sur la Vienne et de l'ancien bourg des Ormes dominé par sa grande église néo-romane voulue et réalisée par les D'Argenson.

Ouvrage disponible dans les librairies du grand ouest et en ligne sur :

http://www.gesteditions.com

http://www.gesteditions.com/actualites/evenements

http://www.chapitre.com

     

                                                     

                   

 

La cathédrale Saint-Louis de Versailles. Un grand chantier royal du règne de Louis XV, éditions Somogy, 256 pages, 45 . Parution novembre 2009.

Vous pensez que Versailles ce n'est qu'un château, un beau parc et deux Trianon ? Détrompez-vous ! Versailles, c'est aussi une grande cité royale où se trouvent les édifices religieux parmi les plus significatifs des XVIIe-XVIIIe siècles. La cathédrale Saint-Louis est assurément de ceux-là.

Projetée par Louis XIV, érigée par Louis XV, dont elle fut le premier grand chantier religieux, cette cathédrale constitue l'une des réalisations majeures de l'architecture religieuse du XVIIIe siècle français, trop souvent négligée au profit des réalisations parisiennes du temps.

Bâtie de 1742 à 1754 par Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne (1711-1778), dernier des Mansart,  un des grands maîtres de l'architecture rocaille du moment, décorée et augmentée (chapelle des Catéchismes) par Louis-François Trouard, un des premiers architectes néo-classiques du XVIIIe, célèbre professeur de Claude-Nicolas Ledoux, l'édifice a rassemblé aussi les meilleurs peintres (Boucher, Restout, Deshays, Pierre, Vien...) et sculpteurs (Pineau et Pajou) du temps. Collaborèrent également au chantier, les célèbres facteurs d'orgue Clicquot, ainsi que les meilleurs orfèvres et marbriers.

Dévastée sous la Révolution, comme les autres églises de la ville, la cathédrale Saint-Louis retrouva ses lettres de noblesse au XIXe siècle sous l'impulsion de Louis XVIII, soucieux de lui redonner son caractère royal, et celle des évêques successifs.

Cet ouvrage, qui redonne à cette église toute la place qu'elle mérite dans la création religieuse du XVIIIe siècle en France, entend livrer, à travers elle, un panorama complet et circonstancié de l'architecture religieuse de la première moitié du siècle, marquée par le style rocaille. Cette période de l'architecture française est en effet trop souvent négligée, dans les manuels d'histoire de l'art, au profit des grands chantiers néo-classiques de la seconde moitié du siècle. L'injustice est donc réparée ici.

Après une première partie relative à l'histoire et la vie de la cathédrale aux XVIIIe-XIXe siècles, le lecteur trouvera dans la seconde partie, une analyse détaillée des influences qui marquèrent le bâtiment (gothique, baroque et rocaille).

Ouvrage à mettre entre les mains de tous ceux qui aiment Versailles et l'architecture du XVIIIe siècle !

 

Revue de presse Cathédrale Saint-Louis de Versailles 2009-2010

http://www.persee.fr/doc/Françoise Hamon, Bulletin monumental, juin 2011

Versailles magazine, décembre 2009 

ARCHISCOPIE SUPPLEMENT, décembre 2009

Nouvelles de Versailles, 30 décembre 2009

Passage du livre, janvier 2010

Bulletin de l'évêché de Versailles, février 2010

Versailles + , mars 2010

ABC Magazine, mars 2010

L'ESTAMPILLE - L'OBJET D'ART, mai 2010

Passion du livre, juin 2010

POLITIQUE MAGAZINE, 13 octobre 2010

FORUM CHANTIERS, novembre-décembre 2010 

 

 

                  Histoire-de-lArt-pour-les-Nuls-2006

 

L'histoire de l'art pour les nuls, éditions First, 384 pages, 22,90  ; 576 pages, 29,90 . Parution septembre 2006.

La visite d'un musée vous arrache des baillements d'ennui, les galeries d'art vous donnent de l'urticaire et vous ne comprenez pas pourquoi des personnes apparemment saines d'esprit sont prêtes à s'empoigner dans une salle de vente pour acheter à prix d'or un tableau qui ressemble à un dessin d'enfant ?

L'art, pensez-vous, c'set un peu comme le polo ou les échecs : pour s'y intéresser, il faut être riche et intelligent. Eh bien, rien n'est moins vrai : faisant d'abord appel à la sensibilité, l'art n'est pas réservé à une poignée d'élus ! Tout le monde peut apprécier la beauté d'un objet et le profane, armé de connaissances, apprend vite à affiner son goût.

Peinture, sculpture, architecture... Les formes d'expression sont multiples. De la grotte de Lascaux à la chapelle Sixtine en passant par le temple d'Angkor, le Penseur de Rodin, l'Egouttoir de Marcel Duchamp et bien d'autres encore, cet ouvrage explore, à travers l'infinie variété des époques et des styles, l'extraorinaire richesse du patrimoine artistique de l'humanité depuis ses origines. comme un immense musée, mais en moins poussiéreux... et en plus amusant ! Bref, un livre à vraiment mettre entre toutes les mains !

 

L'HISTOIRE DE L'ART POUR LES NULS. REVUE DE PRESSE 2006

 

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OUVRAGES COLLECTIFS

"Blondel et les Mansart : une leçon d'architecture particulière", Jacques-François Blondel. La dernière leçon de l'architecture "à la française", Aurélien Davrius (dir.), Mardaga, Bruxelles, 2022, p. 33-59.

 

      Couverture actes blondel 2017 2022

 

"L’hôtel de ville de Marseille. Vicissitudes de l’aménagement urbain sous Louis XV", Hôtels de ville. Architecture publique à la Renaissance, Alain Salamagne (dir.), PUR/Presses universitaires François Rabelais, Rennes/Tours, 2015, p.319-344.       

 

       Hotels de ville, 2015                  

 

Notice sur le château de Sagonne et généalogies des Mansart, Jules Hardouin-Mansart (1646-1708), Alexandre Gady (dir.), Éditions de la Maison des Sciences de l’Homme, Paris, 2010, p. 302-303, 570-571.

 

       Jules Hardouin-Mansart, 2010

 

Notices sur l’hôtel de ville et la place royale de Marseille au XVIIIe siècle, De l’Esprit des Villes. Nancy et l’Europe urbaine au Siècle des Lumières, 1720-1770, Jean-Marie Pérouse de Montclos - Alexandre Gady (dir.), cat. expo. Nancy, Musée des Beaux-Arts, 7 mai-22 août 2005, Artlys, Versailles, 2005, p. 356-357.

 

      De l'Esprit des Villes, 2005

 

"L’inventaire de Jean Mansart de Jouy ou la fin de la dynastie des Mansart" , Le livre et l’art. Études offertes en hommage à Pierre Lelièvre, Bruno Foucart - Thérèse Kleindienst (dir.), Somogy/Énssib, Paris/Villeurbanne, 2000, p. 293-304.

    

      Le livre et l'art, 2000           

 

"L’hôtel de Saint-Chaumont", Le quartier de Bonne Nouvelle, Werner Szambien (dir.), Délégation Artistique de la Ville de Paris, Paris, 1999, p.87-92.

 

      Sentier Bonne Nouvelle, 2001

 

Douze notices sur Versailles, Dictionnaire des Monuments d’Ile-de-France, Georges Poisson (dir.), Hervas, Paris, 1999.

 

      Dictionnaire des monuments d'Ile-de-France, 1999  

 

"Les projets de Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne pour la place Louis XV de Paris (1748-1753)", Paris, capitale des arts sous Louis XV, annales du Centre Ledoux, tome 2, Daniel Rabreau (dir.), William Blake, Art & Arts, Paris/Bordeaux, 1998, p. 129-147.

    

       Annales Centre Ledoux, t. II, Paris-Bordeaux, 1998  

 

 

À PARAITRE PROCHAINEMENT :

LE DOMAINE IMPÉRIAL DE BIARRITZ, 1854-1881. VERSAILLES ET TRIANON SUR LA CÔTE BASQUE, Paris.

 

LES MANSART. TROIS GÉNÉRATIONS DE GÉNIES DE L'ARCHITECTURE, Paris.

 

L'HÔTEL DU PALAIS BIARRITZ, DE LA RÉSIDENCE IMPÉRIALE AU PALACE,  Biarritz.

 

LE CHÂTEAU ET LES HARAS D'ASNIÈRES-SUR-SEINE, DES ORIGINES Á NOS JOURS. UN ENSEMBLE EXCEPTIONNEL EN BORD DE SEINE, Paris.

 

LE DUC ET LA MARQUISE. CORRESPONDANCE INÉDITE DE CHRISTIAN IV, DUC DES DEUX-PONTS, PRINCE PALATIN DU RHIN ET DE MADAME DE POMPADOUR, Paris.

 

 

              Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne, tribune d'orgue, Saint-Louis de Versailles, vers 1750, cl. Ph. Cachau